Témoignages : regards sur notre résidence
Y vivre
Je suis rentrée à la résidence le 18 novembre 2016. J’ai toujours vécu à Arthon, j’y ai même travaillé, j’étais dans le secteur hospitalier. J’aime tout ici, on s’y sent tellement bien ! J’y ai retrouvé une copine d’école : Mme T. Mais je me suis aussi fait d’autres copines, comme Marie-Madeleine qui est juste à côté de moi. On se connaissait de vue, car une de ses filles est mariée avec un de mes neveux. On joue beaucoup aux cartes ensemble, on boit notre petit café, on discute… On a toujours des choses à se raconter. Et puis il ne faut pas se plaindre, on est bien nourris ! Et j’adore ma chambre. On est aidés au quotidien, pour notre bien-être, mais ce n’est jamais trop intrusif. Franchement, je suis chez moi ici.
Moi je suis là depuis quatre ans, je suis arrivée après le décès de mon mari. J’ai voulu venir car je ne voulais pas rester seule en campagne, mes enfants ne vivent pas à côté de chez moi. Ce que j’aime le plus ici ? Me faire des copines ! Il y a une très bonne ambiance entre les résidents. Le matin je reste dans ma chambre que j’adore, elle est très grande ! Après mon petit-déjeuner, je lis tranquillement mon journal, et puis je descends pour manger avec les autres. L’après-midi je reste dans les salons pour jouer aux cartes et discuter. J’ai rencontré beaucoup d’amis ici ! Je suis très copine avec Félixine. Quand il fait beau, on sort dans le parc à côté pour se dépenser. Et puis tous les soirs, on fait le tour du couloir à l’étage. C’est important de garder la forme, l’âge n’est pas une excuse !
Je suis arrivé ici le 22 janvier 2017, je m’en souviens comme si c’était hier ! Ce que j’aime le plus ? c’est simple : tout. Non, honnêtement s’il fallait lister : le cadre, les locaux, le personnel, les activités… et puis la nourriture ! Pour être honnête, je trouve que les portions de dessert ne sont pas assez grosses, j’en voudrais toujours plus et j’en redemande souvent au cuisinier… Mais pourquoi les ramequins sont aussi petits ? Enfin trêve de plaisanterie, c’est délicieux. J’adore ma chambre même si j’y suis assez peu : ce que j’aime, c’est le contact. Pour tout vous dire, j’ai même une nouvelle amoureuse ici… Mais je ne vous dévoilerai pas son nom ! Comme quoi, on peut toujours séduire, même en maison de retraite. Et puis je suis aussi président du conseil de vie sociale. On se réunit, on rencontre les nouveaux résidents et leurs familles et on les aide à se sentir bien. Je suis un peu le clown de la résidence, je ne veux voir que des sourires sur les visages ! A quoi ça sert de faire la tête ? La vie est trop courte ! Moi, j’aime voir les gens heureux, j’aime plaisanter. J’adore les activités, surtout suivre les actualités sportives. A la coupe du monde, j’avais accroché des petits drapeaux tricolores à mon déambulateur, et j’avais eu un sacré succès ! Honnêtement, je me sens chanceux d’être ici, ma vie n’a pas toujours été simple mais, aujourd’hui, je pense que je peux le dire : je suis heureux.
Y travailler
J’ai commencé à travailler dans la résidence en 2001, en tant que remplaçante en ménage et en soin. J’ai eu une formation de trois jours sur la maladie d’Alzheimer. Et là, ça a été le déclic. J’ai su que je voulais prendre soin d’eux. Alors j’ai repris mes études pendant deux ans pour exercer en tant qu’AMP (aide médico-psychologique) et ASG (assistante de soin en gérontologie). C’est ce que je fais depuis 2005, et je dois dire que je ne changerais pour rien au monde ! Je suis heureuse ici, à l’accueil de jour. J’aime le type de relation que j’entretiens avec les résidents pour les accompagner au quotidien. Mais j’aime aussi être en contact avec leurs familles. On veille à créer une relation de confiance. Les personnes en accueil de jour finissent souvent par venir à temps plein à la résidence, et elles sont donc rassurées car elles connaissent les lieux, les résidents et le personnel ! Et puis les conjoints ou les enfants des résidents sont souvent embauchés à l’accueil de jour en tant que bénévoles. Ils peuvent alors s’investir à 100% dans la vie de leurs proches, et passer beaucoup de temps avec eux. C’est un type de relation incroyable, et je suis fière d’en faire partie !
Depuis toute petite, j’ai envie d’apporter du bien-être aux autres. C’est pour ce côté humain que j’ai choisi le métier d’aide-soignante. Mon rôle, c’est d’accompagner les résidents au quotidien, en leur apportant un soutien physique, psychologique, mais surtout une véritable sécurité. J’ai obtenu mon diplôme en 2000 et ai d’abord travaillé en tant qu’aide-soignante à domicile. Mais j’avais besoin d’un autre type de relation, et d’un emploi plus sûr. Je suis donc arrivée à la résidence Saint-Joseph en 2002 et depuis… je ne suis jamais partie ! J’adore l’ambiance ici, c’est très familial, aussi bien entre les membres du personnel qu’avec les résidents. En plus, on a la chance d’avoir de bonnes conditions de travail. Même si le métier d’aide-soignante est très prenant et demande beaucoup d’efficacité, nous avons accès à beaucoup de matériel médicalisé, on est écoutés dans nos besoins. Et puis c’est un cercle vertueux ! Puisqu’on va bien, on a plus de temps pour prendre en considération les résidents. Il y a beaucoup de respect ici, on peut tisser de vrais liens, ce n’est pas un travail à la chaîne ! Je recommanderai cet établissement à coup sûr, aussi bien pour y vivre que pour y travailler.
Prendre soin des autres c’est plus qu’une vocation, c’est un véritable trait de personnalité. J’en ai fait mon métier en tant qu’infirmier, mais je suis aussi engagé dans la vie associative. Mettre des sourires sur des visages, ça n’a pas de prix ! Au sein de la résidence, je suis l’infirmier coordinateur. Je fais un peu de soins, mais je m’occupe surtout de la gestion des équipes : planning, accompagnement professionnel, désir de formation, d’évolution dans les pratiques… Il y a aussi tout un aspect pour l’accompagnement du résident. On porte un regard sur la qualité de soin selon plusieurs indicateurs de qualités (le taux de chute par exemple). Tous les 5 ans, on rédige un projet de soin à l’échelle de l’établissement selon les nouvelles façons d’accompagner les résidents. Et puis au niveau individuel, il y a le projet d’accompagnement personnalisé. Pour chaque résident, on veut aller au-delà du soin. Notre métier ce n’est pas seulement faire la toilette, habiller, coiffer… Nous sommes face à un individu avec des désirs, des envies, alors que faire pour tout cet aspect humain ? On insiste beaucoup sur le fait que le résident porte un regard sur lui-même. Le consentement est important, c’est primordial de rester acteur de sa vie. Et puis la vie, c’est vraiment ce qu’on sent ici. C’est ça qui m’a le plus interloqué, quand je suis arrivé en 2017 après quelques années dans l’hôpital public. Il y a toujours du mouvement, des émotions, ce n’est pas toujours simple mais c’est du vrai, c’est quelque chose qui a du sens. On sait pourquoi on se lève chaque matin… Ce ne sont pas seulement les soins qui importent le plus ici : c’est la vie qui émane de partout, c’est une véritable énergie positive, et inspirante.
Faire confiance
Mon époux Camille, affecté par l’Alzheimer, venait déjà ici depuis deux ans en accueil de jour, quand il a dû être accueilli d’urgence à Noël dernier. Je suis tombée à la maison, je ne pouvais plus le prendre en charge. C’était un dimanche soir : j’ai appelé la résidence et ils m’ont dit de venir tout de suite, ils se sont occupés de Camille en accueil temporaire et, la semaine suivante, il intégrait officiellement l’EHPAD en tant que résident. Mon mari est très dépendant. Pourtant, ici, on le stimule tout le temps. Il ne marchait presque plus mais désormais il recommence à se déplacer. Il parle de moins en moins, et pourtant ici on communique chaque jour avec lui. Il n’est jamais isolé. Il a toujours le sourire. Quand il venait à l’accueil de jour, ce n’était jamais à reculons. C’est vrai que ce n’est pas toujours facile pour les familles… Et pourtant, depuis deux ans je leur fais confiance à 200%. Les animatrices sont incroyables, tout comme le reste de l’équipe de soin et la direction. C’est une vraie famille ! Tout le monde est à l’écoute, prêt à répondre à nos questions. Il y a des hauts et des bas mais le personnel sait toujours nous remonter le moral. C’est aussi pour ça que je viens 4 fois par semaine au minimum, en tant que bénévole pour l’animation. J’y emmène même ma petite-fille de 10 ans parfois ! Elle adore venir voir son papou ici, et faire des activités avec lui et les autres résidents. Et puis je vous laisse contempler le sourire de Camille : honnêtement, cela vaut plus que mille mots.
Il y a deux ans et demi maintenant, ma mère m’a appelée un soir et m’a dit « c’est décidé, je rentre en maison de retraite ». Elle a toujours eu beaucoup de caractère et a toujours su ce qu’elle voulait. C’était assez dur pour moi, et le reste de ma fratrie. Pourtant, on a eu raison de l’écouter. Elle devenait un peu maigrichonne chez elle, il lui arrivait de tomber parfois et elle ne se sentait plus en sécurité. En quelques jours ici, elle a repris du poids, et de la vie. Pour ma part j’ai toujours aimé le contact des personnes âgées, je travaillais même dans ce secteur. Alors je viens souvent ici en tant que bénévole, depuis que maman est là. Elle n’est pas vraiment dépendante, c’est plus du confort pour elle. Elle aime avoir son petit-déjeuner avec son journal. Ensuite elle prend son petit café avec un de ses enfants, et puis elle va aux animations écouter l’actualité. Elle est sociable ! Avant, la maison était toujours pleine. Et puis ici, ça n’a pas changé, elle joue aux cartes avec ses copines l’après-midi, elle est toujours en relation avec les autres. Maman sait ce qu’elle veut et n’hésite pas à dire quand ça ne va pas ! Pourtant elle ne se plaint de rien, c’est un vrai soulagement de la voir autant épanouie. Honnêtement, je suis totalement en confiance. Je ne sais pas si je suis totalement objective, mais c’est une maison de retraite exceptionnelle ! On peut se confier, le personnel est à l’écoute et ce malgré leur travail très prenant. On est toujours bien accueillis, tout le monde sourit. Je ne pouvais pas rêver mieux pour ma maman !
Y vivre
Je suis rentrée à la résidence le 18 novembre 2016. J’ai toujours vécu à Arthon, j’y ai même travaillé, j’étais dans le secteur hospitalier. J’aime tout ici, on s’y sent tellement bien ! J’y ai retrouvé une copine d’école : Mme T. Mais je me suis aussi fait d’autres copines, comme Marie-Madeleine qui est juste à côté de moi. On se connaissait de vue, car une de ses filles est mariée avec un de mes neveux. On joue beaucoup aux cartes ensemble, on boit notre petit café, on discute… On a toujours des choses à se raconter. Et puis il ne faut pas se plaindre, on est bien nourris ! Et j’adore ma chambre. On est aidés au quotidien, pour notre bien-être, mais ce n’est jamais trop intrusif. Franchement, je suis chez moi ici.
Moi je suis là depuis quatre ans, je suis arrivée après le décès de mon mari. J’ai voulu venir car je ne voulais pas rester seule en campagne, mes enfants ne vivent pas à côté de chez moi. Ce que j’aime le plus ici ? Me faire des copines ! Il y a une très bonne ambiance entre les résidents. Le matin je reste dans ma chambre que j’adore, elle est très grande ! Après mon petit-déjeuner, je lis tranquillement mon journal, et puis je descends pour manger avec les autres. L’après-midi je reste dans les salons pour jouer aux cartes et discuter. J’ai rencontré beaucoup d’amis ici ! Je suis très copine avec Félixine. Quand il fait beau, on sort dans le parc à côté pour se dépenser. Et puis tous les soirs, on fait le tour du couloir à l’étage. C’est important de garder la forme, l’âge n’est pas une excuse !
Je suis arrivé ici le 22 janvier 2017, je m’en souviens comme si c’était hier ! Ce que j’aime le plus ? c’est simple : tout. Non, honnêtement s’il fallait lister : le cadre, les locaux, le personnel, les activités… et puis la nourriture ! Pour être honnête, je trouve que les portions de dessert ne sont pas assez grosses, j’en voudrais toujours plus et j’en redemande souvent au cuisinier… Mais pourquoi les ramequins sont aussi petits ? Enfin trêve de plaisanterie, c’est délicieux. J’adore ma chambre même si j’y suis assez peu : ce que j’aime, c’est le contact. Pour tout vous dire, j’ai même une nouvelle amoureuse ici… Mais je ne vous dévoilerai pas son nom ! Comme quoi, on peut toujours séduire, même en maison de retraite. Et puis je suis aussi président du conseil de vie sociale. On se réunit, on rencontre les nouveaux résidents et leurs familles et on les aide à se sentir bien. Je suis un peu le clown de la résidence, je ne veux voir que des sourires sur les visages ! A quoi ça sert de faire la tête ? La vie est trop courte ! Moi, j’aime voir les gens heureux, j’aime plaisanter. J’adore les activités, surtout suivre les actualités sportives. A la coupe du monde, j’avais accroché des petits drapeaux tricolores à mon déambulateur, et j’avais eu un sacré succès ! Honnêtement, je me sens chanceux d’être ici, ma vie n’a pas toujours été simple mais, aujourd’hui, je pense que je peux le dire : je suis heureux.
Y travailler
J’ai commencé à travailler dans la résidence en 2001, en tant que remplaçante en ménage et en soin. J’ai eu une formation de trois jours sur la maladie d’Alzheimer. Et là, ça a été le déclic. J’ai su que je voulais prendre soin d’eux. Alors j’ai repris mes études pendant deux ans pour exercer en tant qu’AMP (aide médico-psychologique) et ASG (assistante de soin en gérontologie). C’est ce que je fais depuis 2005, et je dois dire que je ne changerais pour rien au monde ! Je suis heureuse ici, à l’accueil de jour. J’aime le type de relation que j’entretiens avec les résidents pour les accompagner au quotidien. Mais j’aime aussi être en contact avec leurs familles. On veille à créer une relation de confiance. Les personnes en accueil de jour finissent souvent par venir à temps plein à la résidence, et elles sont donc rassurées car elles connaissent les lieux, les résidents et le personnel ! Et puis les conjoints ou les enfants des résidents sont souvent embauchés à l’accueil de jour en tant que bénévoles. Ils peuvent alors s’investir à 100% dans la vie de leurs proches, et passer beaucoup de temps avec eux. C’est un type de relation incroyable, et je suis fière d’en faire partie !
Depuis toute petite, j’ai envie d’apporter du bien-être aux autres. C’est pour ce côté humain que j’ai choisi le métier d’aide-soignante. Mon rôle, c’est d’accompagner les résidents au quotidien, en leur apportant un soutien physique, psychologique, mais surtout une véritable sécurité. J’ai obtenu mon diplôme en 2000 et ai d’abord travaillé en tant qu’aide-soignante à domicile. Mais j’avais besoin d’un autre type de relation, et d’un emploi plus sûr. Je suis donc arrivée à la résidence Saint-Joseph en 2002 et depuis… je ne suis jamais partie ! J’adore l’ambiance ici, c’est très familial, aussi bien entre les membres du personnel qu’avec les résidents. En plus, on a la chance d’avoir de bonnes conditions de travail. Même si le métier d’aide-soignante est très prenant et demande beaucoup d’efficacité, nous avons accès à beaucoup de matériel médicalisé, on est écoutés dans nos besoins. Et puis c’est un cercle vertueux ! Puisqu’on va bien, on a plus de temps pour prendre en considération les résidents. Il y a beaucoup de respect ici, on peut tisser de vrais liens, ce n’est pas un travail à la chaîne ! Je recommanderai cet établissement à coup sûr, aussi bien pour y vivre que pour y travailler.
Prendre soin des autres c’est plus qu’une vocation, c’est un véritable trait de personnalité. J’en ai fait mon métier en tant qu’infirmier, mais je suis aussi engagé dans la vie associative. Mettre des sourires sur des visages, ça n’a pas de prix ! Au sein de la résidence, je suis l’infirmier coordinateur. Je fais un peu de soins, mais je m’occupe surtout de la gestion des équipes : planning, accompagnement professionnel, désir de formation, d’évolution dans les pratiques… Il y a aussi tout un aspect pour l’accompagnement du résident. On porte un regard sur la qualité de soin selon plusieurs indicateurs de qualités (le taux de chute par exemple). Tous les 5 ans, on rédige un projet de soin à l’échelle de l’établissement selon les nouvelles façons d’accompagner les résidents. Et puis au niveau individuel, il y a le projet d’accompagnement personnalisé. Pour chaque résident, on veut aller au-delà du soin. Notre métier ce n’est pas seulement faire la toilette, habiller, coiffer… Nous sommes face à un individu avec des désirs, des envies, alors que faire pour tout cet aspect humain ? On insiste beaucoup sur le fait que le résident porte un regard sur lui-même. Le consentement est important, c’est primordial de rester acteur de sa vie. Et puis la vie, c’est vraiment ce qu’on sent ici. C’est ça qui m’a le plus interloqué, quand je suis arrivé en 2017 après quelques années dans l’hôpital public. Il y a toujours du mouvement, des émotions, ce n’est pas toujours simple mais c’est du vrai, c’est quelque chose qui a du sens. On sait pourquoi on se lève chaque matin… Ce ne sont pas seulement les soins qui importent le plus ici : c’est la vie qui émane de partout, c’est une véritable énergie positive, et inspirante.
Faire confiance
Mon époux Camille, affecté par l’Alzheimer, venait déjà ici depuis deux ans en accueil de jour, quand il a dû être accueilli d’urgence à Noël dernier. Je suis tombée à la maison, je ne pouvais plus le prendre en charge. C’était un dimanche soir : j’ai appelé la résidence et ils m’ont dit de venir tout de suite, ils se sont occupés de Camille en accueil temporaire et, la semaine suivante, il intégrait officiellement l’EHPAD en tant que résident. Mon mari est très dépendant. Pourtant, ici, on le stimule tout le temps. Il ne marchait presque plus mais désormais il recommence à se déplacer. Il parle de moins en moins, et pourtant ici on communique chaque jour avec lui. Il n’est jamais isolé. Il a toujours le sourire. Quand il venait à l’accueil de jour, ce n’était jamais à reculons. C’est vrai que ce n’est pas toujours facile pour les familles… Et pourtant, depuis deux ans je leur fais confiance à 200%. Les animatrices sont incroyables, tout comme le reste de l’équipe de soin et la direction. C’est une vraie famille ! Tout le monde est à l’écoute, prêt à répondre à nos questions. Il y a des hauts et des bas mais le personnel sait toujours nous remonter le moral. C’est aussi pour ça que je viens 4 fois par semaine au minimum, en tant que bénévole pour l’animation. J’y emmène même ma petite-fille de 10 ans parfois ! Elle adore venir voir son papou ici, et faire des activités avec lui et les autres résidents. Et puis je vous laisse contempler le sourire de Camille : honnêtement, cela vaut plus que mille mots.
Il y a deux ans et demi maintenant, ma mère m’a appelée un soir et m’a dit « c’est décidé, je rentre en maison de retraite ». Elle a toujours eu beaucoup de caractère et a toujours su ce qu’elle voulait. C’était assez dur pour moi, et le reste de ma fratrie. Pourtant, on a eu raison de l’écouter. Elle devenait un peu maigrichonne chez elle, il lui arrivait de tomber parfois et elle ne se sentait plus en sécurité. En quelques jours ici, elle a repris du poids, et de la vie. Pour ma part j’ai toujours aimé le contact des personnes âgées, je travaillais même dans ce secteur. Alors je viens souvent ici en tant que bénévole, depuis que maman est là. Elle n’est pas vraiment dépendante, c’est plus du confort pour elle. Elle aime avoir son petit-déjeuner avec son journal. Ensuite elle prend son petit café avec un de ses enfants, et puis elle va aux animations écouter l’actualité. Elle est sociable ! Avant, la maison était toujours pleine. Et puis ici, ça n’a pas changé, elle joue aux cartes avec ses copines l’après-midi, elle est toujours en relation avec les autres. Maman sait ce qu’elle veut et n’hésite pas à dire quand ça ne va pas ! Pourtant elle ne se plaint de rien, c’est un vrai soulagement de la voir autant épanouie. Honnêtement, je suis totalement en confiance. Je ne sais pas si je suis totalement objective, mais c’est une maison de retraite exceptionnelle ! On peut se confier, le personnel est à l’écoute et ce malgré leur travail très prenant. On est toujours bien accueillis, tout le monde sourit. Je ne pouvais pas rêver mieux pour ma maman !
Ils parlent de nous !
C’était le 17 décembre 2020 sur TF1. Nous avons eu le plaisir d’apparaître dans le JT de 13 heures. Nous avons pu y exposer les mesures sanitaires prises par notre établissement en vue des fêtes de fin d’année.
Malgré la situation actuelle, ce qui nous importe le plus reste la sécurité de nos résidents, mais sans frustration. Nous avons alors tout mis en place pour que chacun ait l’opportunité de voir ses proches dans le respect des gestes barrières. La COVID ne nous enlèvera pas ces beaux moments!
Bonnes fêtes de fin d’année à toutes et à tous, prenons soin de nos aîné.es.
Ils parlent de nous !
C’était le 17 décembre 2020 sur TF1. Nous avons eu le plaisir d’apparaître dans le JT de 13 heures. Nous avons pu y exposer les mesures sanitaires prises par notre établissement en vue des fêtes de fin d’année.
Malgré la situation actuelle, ce qui nous importe le plus reste la sécurité de nos résidents, mais sans frustration. Nous avons alors tout mis en place pour que chacun ait l’opportunité de voir ses proches dans le respect des gestes barrières. La COVID ne nous enlèvera pas ces beaux moments!
Bonnes fêtes de fin d’année à toutes et à tous, prenons soin de nos aîné.es.